Découvrez l’abandonnophie ou la peur de l’abandon
Dans la vie on ne peut pas plaire à tout le monde. Mais certaines personnes ont tellement peur d’être rejeté ou abandonné qu’elles font vivre un enfer à leur entourage ou préfèrent même se couper de tout le monde. Grâce à cet article, vous allez pouvoir comprendre ce qu’est l’abandonnophie, aussi connu sous le nom du syndrome de l’abandon.
Découvrez ici : Comment combattre sa peur : essayez, échouez, réussissez !
L’abandonnophie, un véritable syndrome
A l’heure actuelle, l’abandonnophie a été diagnostiqué par les médecins comme étant un véritable syndrome à ne pas prendre à la légère. Elément déclencheur, symptômes et traitements, cela s’apparente à une vraie maladie.
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Il s’agit de personnes qui ont une peur maladive d’être abandonné et de se retrouver seul du jour au lendemain. Souvent, elles pensent même ne pas mériter d’être aimé et de recevoir de l’affection et de la tendresse de la part des autres. Cette dépendance affective malsaine entache la plupart de leurs relations jusqu’à les faire imploser.
Certaines en sont même arrivées à un point où elles préfèrent ne tisser de liens avec personne plutôt que de prendre le risque d’être rejetées dans une semaine, un mois ou un an. Cette peur peut s’exprimer dans plusieurs domaines : que ce soit avec les amis, les conjoints ou la famille.
Quelle est son origine ?
L’origine de l’abandonnophie est toujours la même : une séparation douloureuse durant la petite enfance qui a été perçue comme un abandon.
A partir de là, la personne « abandonnée » développe un sévère manque de confiance et d’estime d’elle-même : elle ne s’aime pas et ne s’apprécie pas à sa juste valeur. Elle va donc chercher cet amour, qu’elle n’arrive pas à se donner et dont elle manque cruellement, auprès d’un partenaire en lui en demandant toujours plus, toujours plus souvent.
Avec l’augmentation du taux de divorce et l’utilisation abusive des réseaux sociaux, les jeunes de notre génération sont de plus en plus touchés par l’abandonnophie.
Comment s’en sortir ?
Prendre conscience que l’on souffre de cette peur irrationnelle est déjà la première étape vers la guérison : ça signifie qu’il y a eu un déclic.
Pour surmonter cette « blessure originelle », le mieux est de ne pas trop réfléchir, de ne pas penser à la place des autres en se créant des scénarios catastrophes dans lesquels vous n’avez aucune valeur et tous vos proches vous abandonnent.
Ne tombez pas dans le piège de l’anticipation négative.
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