La crise des 30 ans : êtes-vous là où vous vouliez être ?
Le vieillissement est toujours un grand mystère, mais l’une des crises les plus célèbres est la crise des 30 ans. Cela se produit lorsque nous nous rapprochons de la trentaine d’années ou nous la passions un peu et que nous commençons à formuler diverses questions dans notre esprit. La vie en valait-elle la peine ? Est-ce que je le vis ? Quoi qu’il en soit, c’est exactement ce dont nous allons parler aujourd’hui !
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Pourquoi la crise des 30 ans ?
La crise des 30 ans est bien connue comme une crise d’âge, mais elle est plus fréquente parce qu’elle se situe au milieu de l’âge adulte, où l’on commence à dire au revoir à sa jeunesse. En ce moment, nous pensons déjà que dans 10 ans, nous aurons 40 ans et que nous serons alors vieux.
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Bien sûr, beaucoup de ces craintes sont stupides et sans valeur, mais elles sont naturelles et tout à fait acceptables.
Ce qui provoque peut-être le plus cette crise des 30 ans, c’est l’incertitude de ne pas savoir où l’on se trouve. Car nous ne nous sentons plus si « jeunes » et, en même temps, nous avons aussi peur de nous intégrer à l’âge adulte. La vieillesse semble déjà effrayante, même si elle est lointaine. La ménopause est lointaine, mais elle nous fait déjà peur. Il y a plusieurs facteurs.
Le temps et la routine après les 30 ans
Le temps est quelque chose de si éphémère et, en même temps, de si précieux. C’est comme un paradoxe, plus nous l’apprécions et plus nous en avons besoin, plus il semble s’échapper vers un autre coin. Aussi, c’est exactement la raison pour laquelle plus nous faisons des bêtises, moins nous avons de temps.
C’est une autre question de la crise de 30 ans. Nous cherchons toujours un peu de temps, que ce soit pour une promenade, pour sortir de la maison, pour essayer de briser la routine. Cette routine que nous appelons parfois « maudite » est aussi « sacrée », car sans elle nous ne recevons pas le pain quotidien. C’est donc dans ce tourbillon de paradoxes et d’impossibilités que l’on se retrouve à vouloir passer à l’action !
« Ah, je vais tout laisser tomber, retirer tout l’argent de la banque et voyager, fuir loin ! » Celui qui n’a jamais pensé à faire cela jettera la première pierre. Ce sentiment de tout finir, de s’échapper et de ne jamais regarder en arrière est le grand jalon et le sommet de la crise de 30 ans !
Comme alternative, en plus d’essayer de le vivre et de le comprendre, nous pouvons essayer de mieux nous organiser. Lorsque la routine se complique et que tout semble s’embrouiller, nous pouvons acheter un agenda, utiliser un calendrier virtuel, mettre des petits papiers dans la maison, marquer et réparer les choses avec plus de garantie. Tout devrait être plus sûr et à sa place. Cela nous permet de gagner du temps et de réduire le stress de la tête !
Les regrets dans la crise des 30 ans
À ce stade de la vie, il est très fréquent que les questions commencent toujours par un « Et si … ».
Mais pourquoi tant de regret et de tristesse pour les choses laissées derrière ? Il faut voir l’avenir, ne pas se refléter dans le passé, sinon on stagne et on ne quitte jamais l’endroit.
Et si je m’étais marié et que j’avais déjà des enfants, une famille ? Eh bien, vous n’êtes pas encore mort, c’est-à-dire que vous pouvez vous marier, avoir des enfants, adopter un enfant, adopter un chiot. Et ne soyez pas désolé pour ce que vous n’avez pas fait, merci pour ce que vous avez déjà fait. Pour le travail, pour vos amis, pour vos expériences.
Oh, et si j’avais étudié davantage et étais allé à l’université plus tôt ? C’est une question très courante et elle semble terrifier beaucoup de gens, mais elle ne peut pas être posée de manière aussi innocente. Nous devons garder à l’esprit que nous n’avons pas besoin d’étudier dans un établissement pour apprendre. Parfois, la vie nous enseigne des leçons bien plus précieuses et efficaces qu’un cours de médecine.
Et si j’avais suivi les conseils de mes parents avec plus d’ardeur et d’obéissance ? Aurais-je un meilleur emploi maintenant ? Aurais-je une meilleure voiture ? Ma maison serait-elle plus grande ?
Que faire ?
Les conseils des parents sont toujours bons, mais nous devons aussi être conscients que les conseils des parents viennent d’un temps lointain, c’est-à-dire qu’ils ne s’intègrent pas toujours parfaitement dans notre vie, dans notre essence.
La visite d’un psychologue est également une bonne demande et peut nous aider à mieux réfléchir à notre destin et à notre mission ici sur Terre. N’ayez pas honte ou peur d’aller parler à quelqu’un. Une bonne partie du corps psychologique est déjà au courant de cette crise et vous guidera de la meilleure façon !
En ce moment, se refléter dans nos parents peut être quelque peu nuisible, et cela se produit bien plus que nous ne le pensons. « Ah, mais mes parents à cet âge avaient déjà … » Vous devez arrêter cela. Ils vivaient à une autre époque, ils étaient d’autres personnes.
Vous êtes vous et vous vivez dans le présent, le présent. Acceptez votre vie et essayez de la façonner pour que ce soit la meilleure expérience possible ! Votre meilleur présent, votre meilleur avenir !
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