Dépression et hypocondrie : nos conseils pour sortir de ce cercle vicieux
Dépression et hypocondrie sont-elles irrémédiablement liées ? Une personne hypocondriaque risque-t-elle de sombrer dans la dépression si elle ne traite pas le mal qui la ronge ? Les études le prouvent, l’hypocondrie est une maladie mentale qui peut dans certains cas conduire à la dépression. Dans ce cas, il est urgent de mettre en pratique certaines solutions pour parvenir à s’extraire de ce cercle vicieux… Retrouvez tous nos conseils dans ce nouvel article consacré à l’hypocondrie et ses dérives.
Découvrez ici : Comment combattre une dépression spirituelle ?
Dépression et hypocondrie : le combo perdant
Une personne qui souffre d’hypocondrie est persuadée qu’elle souffre d’un ou plusieurs maux graves. Cancer, VIH, hépatite… Son esprit va bon train et ses pensées autour de son état de santé deviennent obsédantes. Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que l’hypocondrie est une maladie particulièrement pernicieuse, car elle va conduire le sujet à se créer de véritables symptômes, bien tangibles. On a tendance à penser que l’hypocondriaque fabule, que ses pensées ne sont que le fruit de son imagination. Pourtant, ce n’est pas tout à fait le cas. A force de produire des pensées négatives et obsédantes au sujet de son état de santé, le cerveau va transmettre de mauvaises informations à l’organisme, qui va se charger de rendre réels les symptômes. C’est ainsi que se forme le cercle vicieux de l’hypocondrie.
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Lorsque l’hypocondrie conduit à la dépression
L’hypocondrie peut devenir dangereuse, car le sujet se croyant malade va peu à peu entrer dans un état de déprime, voire de dépression. Persuadé d’être atteint de tous les maux de la terre, il préférera se terrer chez lui plutôt que de prendre l’air et de s’adonner à des activités sociales et/ou sportives. Ainsi isolé, il devient particulièrement difficile pour lui de s’extraire de ses pensées obsédantes.
Comment s’extraire de ces travers ?
La meilleure (et la plus naturelle) façon de sortir de ce cercle vicieux est de reprendre une activité sportive régulière. Cela peut paraître (trop) simple, mais les expériences passées ont prouvé l’efficacité d’un bon footing contre l’état dépressif. Se forcer à prendre l’air, oxygéner son organisme, c’est aussi réussir à repousser ces pensées négatives qui nous obsèdent. Au fil des séances sportives, le sujet malade va reprendre confiance en lui et en ses capacités physiques. Le sport va aussi lui permettre de se reconnecter avec le présent.
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