Faire face à la privation affective: quelques remèdes à votre portée !
Faire face à la privation affective, voilà un défi de taille. En effet, cela peut se sentir dès l’enfance et même à l’âge adulte – dans une relation amoureuse par exemple ou avec un membre de la famille. Mais comment surmonter cette condition qui semble à priori fatale ?
La privation affective de l’adulte remonte généralement à l’enfance. En effet, un enfant qui n’a pas été choyé, câliné, apprécié et valorisé ne pourra pas le faire pour lui-même à l’âge adulte. Il pourrait même en résulter des déficiences émotionnelles, physiques et cognitives. Ne pas entendre de « je t’aime » de ses parents peut être très grave. Souvent ceux qui souffrent de dépendance affective à l’âge adulte n’ont pas été appréciés à leur juste valeur étant petit et souhaite trouver une forme d’approbation auprès d’autres personnes pour avoir confiance en eux. Schéma ardu et compliqué.
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Comment faire face à la privation affective ?
Lorsqu’une telle opportunité se présente dans la vie, l’âme est en souffrance. Elle cherche désespérément un ersatz de relation parent-enfant souvent déficient à l’origine. Le remède le plus efficace à cela est la reconnexion à soi et le développement d’un amour de soi. Car personne ne peut le faire à votre place et c’est la clé de voûte de toute relation saine.
L’amour de soi
Cela passe généralement par de petites attentions comme le ferait une mère. Soyez votre propre mère. Adressez vous dans le miroir à votre enfant intérieur et questionnez ses émotions. Est-il triste, pleure t-il, a t-il les épaules recroquevillées ? Soignez le, dites lui que vous êtes maintenant là pour lui quoiqu’il arrive. Expérimentez l’amour inconditionnel que vous n’avez pas reçu de vos parents avec vous même. Car vous le méritez ! Un exercice intéressant pour faire face à la privation affective est de visualiser cet enfant intérieur comme s’il était devant vous puis de le prendre très fort dans vos bras. Dites lui à l’oreille à quel point vous êtes désolé(e) de l’avoir abandonné et que vous l’aimez par dessus tout. Vous verrez ses réactions changer. Peut être même un sourire, de la joie !
L’estime de soi
Un enfant qui n’a pas reçu l’attention de ses parents ne se sentira pas en sécurité et cela peut se répercuter sur l’âge adulte. Problèmes financiers, problèmes de communication, problèmes pour se vêtir, faire les courses. Cela peut devenir très vite handicapant. L’important ici est de travailler l’estime de soi. De nombreuses thérapies sont là pour vous aider. Consulter une psychologue, faire appel à un numérologue ou un astrologue, la lithothérapie, le conseil en image…. Et j’en passe. L’important est de recréer un cocon dans lequel vous vous sentez à l’aise et en sécurité.
La confiance en soi
La confiance en soi s’acquiert généralement grâce à de petits succès. Au premier succès – peu importe le degré- félicitez vous ! Vous n’avez besoin de l’approbation de personne. Vous en êtes capable. Ouvrez votre coeur à vous-meme. Dès que vous accomplissez une tâche dites vous « bravo ! ». Petit à petit la confiance en soi se construira et ne vous fera pas défaut.
Santé mentale
Faire face à la privation affective peut nous plonger dans des situations de détresse : crises d’angoisse, fatigue chronique, insomnies, phobies, burn-out, dépressions… Dès lors je vous propose de prendre soin de votre santé mentale. Ecrivez vos émotions sur un journal, prenez le temps de prendre soin de votre corps, la pratique de la méditation peut également être d’une grande utilité. Entourez-vous de personnes bienveillantes et empathiques qui seraient capables de vous soutenir dans vos moments de crise. Prenez le temps, rien ne presse. Votre âme et votre corps vous remercieront !
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