Exoconscience : l’harmonie entre les êtres avec respect et sagesse

En vue d’approcher, d’englober et de comprendre des points de vue équidistants du centre (mécaniques et limités), quels seraient les prémisses et les objectifs du mouvement Cercle, en faveur de l’amour et de l’harmonie entre les êtres ?

Le cercle est une forme sacrée en géométrie, car il est composé de plusieurs points de vue équidistants d’un centre. Quand on dessine un cercle parfait avec un compas par exemple, et qu’on enlève le compas, on ne voit plus que le cercle, le centre n’est plus visible. Mais il y a un centre qui réoriente, qui établit l’équilibre et l’harmonie de la disposition de chaque point qui est à sa place. Aucun point ne prend la place d’un autre. Ma place est la mienne et la tienne est la tienne. Et la connaissance la plus ample de la vérité apparaît lorsque nous développons, en nous-mêmes, le respect et le désir d’intégration à partir de l’intégration de multiples points de vue et expériences.

Le philosophe et écrivain brésilien Leonardo Boff dirait que « tout point de vue est le point de vue d’un point ». Chaque lecteur d’un livre est également un co-auteur, car personne n’interprète cette œuvre comme vous le faites. Et lorsque nous parlons d’égalité, nous devons la conjuguer avec le mot différence. Avec respect pour les différences et en vue de leur intégration, afin que l’existence de chacun soit enrichie.

Au sein du Cercle, nous comprenons que la connaissance est une expérience de la vérité. Et la vérité est, définitivement, une expérience de l’amour qui nous unit et qui nous conduit au bien. Plus nous explorons les différentes écoles de la sagesse humaine, plus nous nous rendons compte que cette vérité est fragmentée selon différents points de vue. Et le respect, l’admiration et la vénération pour ces écoles de connaissance est ce qui fait de nous, le Cercle, une école philosophique. Nous recherchons la sagesse partout où elle se trouve.

Exoconscience. Peu de gens connaissent ce terme. Comment ce concept est présenté et discuté dans le mouvement Cercle?

L’exoconscience est un mot très particulier. Et pour l’expliquer, je dois raconter une histoire. J’ai eu un passage par l’ufologie brésilienne lorsque j’ai produit le documentaire Date Limite, selon Chico Xavier (2014), qui a obtenu une projection nationale et qui réunissait spiritualité, ufologie et consciences cosmiques, le tout cousu par le célèbre médium brésilien Chico Xavier (*) et son œuvre.

Puis une nuit, j’étais chez moi en méditation, déjà dans un état de conscience altéré et je me suis dit que l’ufologie, ou comme vous l’appelez au Portugal, l’Ovniologie, n’avait plus de sens pour moi, car cela vient de l’acronyme UFO, en anglais, qui signifie « objet volant non identifié ».

Et, en fait, ce qui m’intéressait à l’époque n’était pas le soi-disant objet volant non identifié, mais plutôt qui étaient les humanités qui visitaient et visitent encore l’atmosphère terrestre. Je pensais qu’il était inutile de parler d’ufologie car ces objets volants sont déjà bien plus qu’identifiés. Il s’agit maintenant de savoir qui les opère, pourquoi ils sont là et quel type de relation nous pouvons avoir avec eux. Cette nouvelle conscience s’est éveillée en moi et un mot est apparu sur mon plan mental : Exoconscience.

S’il existe l’exopolitique, qui réfléchit sur la politique en dehors de la planète Terre, le moment était, à mon avis, arrivé de commencer à penser à la conscience aussi orientée en dehors de la Planète, avec l’intention d’échanger avec des êtres et des humanités qui ont un pas d’avance, mais qui veulent collaborer avec notre parcours, selon la loi de la fraternité.

J’ai fait une recherche sur Google et je n’ai pas trouvé de mention de ce terme dans la langue portugaise. J’ai essayé en anglais, Exoconciousness, et j’ai trouvé le site de la Dr Rebecca Hardcastle Wright, fondatrice de l’Institute for Exoconsciousness aux États-Unis. Je l’ai contactée et nous avons parlé pendant deux heures. Aujourd’hui, je fais partie du conseil d’administration de cet institut. Et, le plus intéressant dans cette rencontre, est qu’elle m’a dit qu’elle avait eu la même expérience que moi avec ce mot.

L’Institute of Exoconsciousness des États Unis définit l’exoconscience comme « la capacité innée de tous les êtres humains à se connecter, à communiquer et à cocréer avec des êtres extraterrestres et multidimensionnels ».

Au Cercle, nous avons procédé à un petit ajustement sémantique et nous définissons l’exoconscience comme « la capacité naturelle que nous avons d’être en syntonie, de nous connecter, de communiquer et de cocréer avec des êtres et des humanités multidimensionnels ». Tout d’abord, nous ajoutons la syntonie car, tout ce que nous voyons en tant que mouvement mondial de pratique de la méditation, n’est que le premier pas vers la syntonie entre les êtres. Je définis la syntonie comme une prédisposition mentale. La syntonie m’amène à me connecter, à entrer en contact avec une réalité qui me conduira nécessairement au processus de communication avec d’autres êtres qui cohabitent dans la même plage vibratoire. Et cette communication me conduit à la cocréation, qui n’est autre que l’expression de la Loi de la Fraternité. A mon avis, la différence centrale se trouve dans l’esprit d’entreprise – entreprendre c’est se décider à accomplir des choses.

(*) Francisco Cândido Xavier (1910-2002), l’un des plus importants représentants du Spiritisme au Brésil. Il a psychographié (phénomène où un esprit écrit en utilisant un médium) plus de 500 livres dans différents genres littéraires, qui ont été traduits en plusieurs langues, en plus de centaines de lettres.

Au milieu des processus de connaissance de soi et d’expansion, de manière didactique et globale, quels seraient les piliers du Cercle ?

Le Cercle fonctionne sur trois piliers : Connaissance, Mouvement et Transformation. Connaissance est ce qui se passe en nous à partir des contenus avec lesquels nous entrons en contact. Par exemple, j’ai lu plusieurs livres sur la paternité, mais aucun d’entre eux n’a réussi à me faire savoir ce qui est être père autant que d’avoir vu la naissance de mon fils. Ces connaissances génèrent en nous un Mouvement d’attitudes en lien avec l’expansion de la conscience, puis de nouvelles postures sont exigées et nous voulons nous positionner différemment, car cette connaissance nous habite maintenant. Et ce mouvement interne de changement nous conduira au mouvement externe de la Transformation.

Connaissance, Mouvement et Transformation résonnent avec des piliers tels que la Liberté, l’Égalité et la Fraternité, de la Révolution française. Ils recoupent également les idéaux de Rudolf Steiner : Penser, Ressentir et Agir ou de l’Oracle de Delphes : se Connaître, se Maîtriser et se Transformer.

Science, spiritualité, religion… est-ce possible de relier tous ces aspects à l’étude et à la pratique de l’exoconscience ?

Oui, l’exoconscience nous offre la possibilité d’être des libres penseurs spiritualisés, non liés par des dogmes religieux ou scientifiques. La science est devenue très dogmatique, par effet et par opposition à l’oppression religieuse qu’elle a subie au Moyen ge. Et nous, les êtres humains, vivons très largement sous la domination du paradigme Culte-Clergé-Jour-Temple :

• Culte – la forme, la cérémonie, le rituel ;
• Clergé – nous dépendons de quelqu’un, un élu, un choisi, un oint, un pontife, un médium;
• Le jour et le temple – nous devons être présents un jour précis dans un lieu précis pour pouvoir nous connecter.

Lorsque nous nous mouvons vers l’exoconscience, nous réalisons que nous pouvons faire partie d’un mouvement en tant que libres penseurs spiritualisés, nous réalisons que tous ces paradigmes ont été utiles à un moment donné de l’humanité mais, qu’en ce moment, nous devons faire un pas de plus, en réalisant que le culte nous habite. Et que nous, en tant qu’êtres en processus de connaissance de soi, pouvons chercher le transcendant sans être un médium, un membre du clergé ou un prêtre, car nous sommes les prêtres de notre vie, parce que le divin habite le temple que nous sommes, à chaque jour. Cela signifie que nous sommes libres de penser. La liberté et la connaissance sont des concepts qui se nourrissent l’un à l’autre en nous.

Nous sommes confrontés à un processus de transition planétaire, une période de grands défis et d’épreuves. Comment définiriez-vous le rôle de l’être humain exoconscient dans la transformation et la régénération de la planète ?

A l’épicentre du concept d’Exoconscience se trouve la cocréation et celle-ci présuppose l’esprit d’entreprise, c’est-à-dire, le fait de se décider à accomplir des choses. Il ne s’agit pas de quitter nos entreprises et nos emplois pour devenir des thérapeutes holistiques, il ne s’agit pas de quitter la société et de se réfugier dans un milieu où l’on ne parle que de spiritualité et de vie à l’écart du monde. Mais il s’agit d’amener et d’intégrer la dimension spirituelle comme épicentre du cercle dans toutes les dimensions humaines. Ainsi, tout tourne autour d’un épicentre spirituel, c’est-à-dire, une ensemble d’expériences et de vécus mystiques qui ancrent en nous des valeurs qui vont au-delà de ce qui peut avoir un prix dans notre société.

Lorsque nous commençons à comprendre ce concept de spiritualité comme axe de la vie, nous décidons d’entreprendre et d’accomplir des choses, d’apporter la présence, la coopération, le savoir-faire de ces êtres dans la création de solutions pratiques pour nos vies. Ce n’est pas l’évasion ou la création de fantasmes psychiques qui font que nous nous sentons spéciaux, choisis par des êtres de lumière. C’est plutôt le fait de prendre le pouvoir à partir de la conscience de nos talents naturels pour trouver le chemin du flux de l’épanouissement dans nos vies.

Parmi les prémisses du mouvement, vous valorisez constamment la recherche de la connaissance, n’est-ce pas ? Quelles seraient les principales sources que nous devrions viser dans ce processus ? La transformation intérieure, par exemple, serait une façon de travailler sur l’évolution de l’être, en communion avec l’exoconscience ?

Exacte, nous valorisons la recherche de la connaissance. Toute connaissance est porteuse d’utilité en nous et il est impressionnant de voir comment, à partir du principe de correspondance, même une connaissance apparemment déconnectée de nous va nous enseigner. C’est un concept que le bouddhisme appellera le sermon de l’inanimé.

En parcourant les écoles de la connaissance, nous commençons à comprendre que la même connaissance imprègne les différentes écoles et disciplines, et que la séparation des disciplines a servi à un objectif pédagogique industriel. Mais nous sommes des êtres humains, si j’ai un problème de foie, je ne peux pas le considérer de façon isolée, je dois voir tout ce qu’entoure la problématique. La même chose s’applique à la connaissance, nous avons besoin de tout ce qui peut nous offrir des indices sur les lois qui régissent l’univers.

Le Cercle parle souvent des lois hermétiques, comme le mentalisme, la correspondance ou le rythme. Le mouvement étant une initiative transcendantale, comment appliquer les lois universelles pour amener l’amélioration de notre façon de vivre sur la Terre ?

En réalité, la contemplation des lois de l’univers nous apporte un sens du fonctionnement de la vie dans toutes ses dimensions. Lorsque je suis capable de contempler et de reconnaître ces lois, c’est comme si j’identifiais le flux du courant de la rivière et, si j’aligne mon embarcation à ce flux, je vais gagner en vitesse et en potentiel de voyage, car je pagayerai en faveur du courant, avec plus de sérénité, en réalisant que tout dans la vie fonctionne par cycles.

Les Lois Hermétiques peuvent être appliquées et identifiées dans tous les domaines de la vie, de la gestion des émotions à l’amélioration de nos relations avec les autres. Et, au-delà de ceci, elles nous permettent de comprendre la main invisible qui, d’une certaine manière, nous gouverne et nous soutient; nous devenons de plus en plus des philosophes et des contemplateurs. Philosophes, parce que nous cherchons la sagesse de vivre en toutes choses et contemplateurs, parce que nous observons que cette sagesse régit toutes les formes, au-delà de celles que nous sommes capables de voir avec nos yeux physiques.

Bien qu’il existe un nombre infini d’individus désireux d’entamer un processus de transformation et de révision de leurs valeurs, nous vivons dans une réalité polarisée; une sorte d’évolution interrompue – ou même une régression évolutive, selon certains points de vue. Comment le mouvement cherche-t-il à reprendre le chemin de l’intégration avec LE TOUT ?

Pour répondre à cette question, je vais devoir raconter une histoire. Ici, au Brésil, nous avons généralement une petite pièce de rangement, une petite pièce à côté du garage pour stocker les choses que nous n’utilisons pas très souvent. J’avais une très bonne pièce comme ça, jusqu’au jour où elle était pleine. Mais je me suis rendu compte que j’occupais la partie inférieure de cette pièce, le plancher, tandis qu’il restait tout l’espace vertical dans le sens de la hauteur de la pièce. Alors, au cours de ce processus de transition, j’ai eu l’idée de verticaliser ce paradigme : j’ai acheté des étagères. Mais il y avait dans ce processus un problème : j’étais déjà conscient que l’ancien paradigme ne fonctionnait pas et la notion que le nouveau allait apporter la solution.

Mais il y a le processus de transition de l’ancien au nouveau. En d’autres termes, j’ai dû tout retirer de la pièce pour installer les étagères. Au début, tout était un désordre, la réalité semblait s’empirer lorsque j’ai décidé d’entreprendre un nouveau paradigme. Mais l’aggravation initiale n’était que la première étape de l’installation du nouveau paradigme avec les tablettes. Puis j’ai commencé à remettre les choses en place, en sélectionnant ce qui devait rester là et ce dont je pouvais me débarrasser.

Ceci est le processus que traverse notre planète dans le cadre de la transition planétaire. Nous avons sorti toutes les choses de notre petite pièce et elles sont grandes ouvertes, grâce au réseau mondial d’ordinateurs, à ce moment de connectivité qui n’a jamais existé avec l’humanité présente sur cette planète. Maintenant, il s’agit de commencer à choisir ce qui vaut la peine d’être gardé par nous et ce dont nous devons nous débarasser pour prospérer en tant que race.

Je ne suis pas d’accord à dire que nous sommes dans une période pire ou rétrograde. Le désordre est à peine sorti. C’est le même désordre, les mêmes choses. C’est à chacun de nous maintenant, avec la nouvelle conscience d’un nouveau paradigme, de choisir ce qui doit rester sur cette planète et ce qui doit partir.

Lorsque nous parlons d’exoconscience, nous exaltons également l’existence d’extraterrestres et d’êtres multidimensionnels en communion, formant un égrégore. Comment l’influence de ces êtres peut aider quelqu’un à devenir un « modèle idéal d’être humain » ?

Il fait partie de la loi de la fraternité que celui qui en sait plus aide celui qui en sait moins. C’est là le véritable exercice du vrai pouvoir, qui est la capacité de collaborer pour que d’autres puissent également atteindre leur potentiel sur le chemin de l’évolution. Lorsque nous parlons d’êtres extraterrestres et multidimensionnels disposés à collaborer avec nous, nous parlons d’êtres qui sont prêts à aider ceux qui en savent moins.

Dans une allusion que vous connaissez tous, c’est comme si nous pensions à Médecins sans Frontières, un mouvement qui s’efforce d’aider l’humanité qui a vécu des catastrophes sur cette planète. Ce n’est pas pour l’argent ou le statut. Ils le font parce que c’est ce qui doit être fait. Nous recevons tous des soins à la naissance. « Du lait pour les bébés et de la viande pour les hommes adultes » est l’un des préceptes de l’Hermétisme.

Quand je regarde cette grande famille universelle, je réalise que c’est l’opportunité que ces êtres ont trouvée pour servir et évoluer dans la pratique de l’amour et du pouvoir afin de collaborer à notre évolution. Ces êtres apportent des exemples du fonctionnement de leurs sociétés, de la manière dont ils ont surmonté les paradigmes dans lesquels ils vivaient mais, surtout, ils ne sont pas là pour voler le mérite de nos réalisations. Plus notre conscience s’élargit et plus nos priorités s’alignent sur le but de l’évolution de la communauté humaine et d’un monde meilleur, plus nous entrons dans la vibration mentale de ces êtres qui souhaitent collaborer avec cela. Il n’est donc pas rare de voir des êtres humains exoconscients avoir des idées novatrices dans tous les domaines de la société.

Toujours en ce qui concerne l’influence des extraterrestres et des êtres multidimensionnels sur l’environnement terrestre, quelles sont les bases du Cercle pour que cette connexion soit une réalité?

Les fondements du Cercle sont formés à partir de la notion de constance et de cohérence dans le temps. Nous nous engageons dans un parcours de développement personnel et d’expansion de nos capacités multidimensionnelles de perception sensorielle, avec constance et cohérence dans le temps. Nous pratiquons chaque jour notre Journal Spirituel, un moment de méditation et de recueillement, où nous amenons la conscience au moment présent, où nous apprécions le cadeau qui est le présent et, à partir de là, nous entrons en harmonie, en connexion et en communion avec ces êtres. Le processus de cocréation se déroule de différentes manières, car chacun d’entre nous a un parcours unique.

Le Cercle, en tant qu’école et entreprise philosophique, fait une fois par semaine une réunion de communication avec ces êtres. Nous utilisons un tableau que nous touchons du bout des doigts et nous attendons. Les énergies rassemblées à ce moment-là font bouger ce tableau et y inscrivent des mots et des messages qui ont trait à la vie quotidienne de l’entreprise, des informations qui sont souvent anticipées dans les rêves et la voyance, voire la psychophonie (*). Tout ceci est enregistré par nous, transcrit et mis à disposition sur le site Journal Spirituel. Et, au fil des années, nous voyons se manifester le concept de constance et de cohérence dans le temps. Et nous nous rendons compte que cette intégration avec l’équipe spirituelle et l’égrégore qui régit le projet du Cercle nous a porté des fruits extraordinaires. Je regarde les communications d’il y a trois ou quatre ans, qui aujourd’hui font beaucoup de sens.

(*) Psychophonie (du grec psyke : âme et phone : son, voix) est le nom donné par le Spiritisme et certaines autres traditions spiritualistes au phénomène où un esprit parle en utilisant la voix d’un médium.

Selon les principes du Cercle, quelle serait la meilleure façon de commencer ce parcours d’apprentissage ? Faut-il avoir un profil idéal, un type de mentalité ou même une plus grande sensibilité ?

Nous partons du concept d’Exoconscience, qui est une capacité innée de l’être humain. Mais il est nécessaire de commencer et de persévérer sur ce chemin. Ce n’est pas parce qu’il s’agit d’une capacité naturelle qu’elle sera pleinement disponible dès l’instant où vous en prendrez conscience. Au contraire, elle nécessite un développement.

Nous devons apprendre à nous développer et il existe de nombreux chemins différents pour le faire. Beaucoup de gens trouvent cela dans le Spiritisme, dans la méditation, dans les cultures orientales – chacun trouvera sa voie dans sa liberté de penseur spiritualisé.

Dans le Cercle, nous avons un cours principal – l’Exoréalisation – dans lequel nous enseignons, tout au long d’une année, le processus de développement, à partir des souvenirs du Général Alfredo Moacyr Uchôa (*), chercheur et mentor du Cercle, nous passons par la compréhension de tous les mystères modernes, nous avançons vers la multidimensionalité, la perception sensorielle, les lois universelles, des études sur la psychologie analytique de Jung, les mythes, les symboles, les rêves, les réponses traumatiques, le parcours de l’héros, l’origine de la conscience, le processus de cocréation et le but final, qui consiste en la création d’une civilisation exoconsciente. Si vous aimez ce genre d’approche, le cours dure environ un an, avec huit modules et 89 cours en ligne enregistrés et des mentorats en direct.

(*) Le général Alfredo Moacyr de Mendonça Uchôa (1906-1996) était un parapsychologue et ufologue brésilien reconnu, possédant de vastes connaissances en Théosophie. Il a été ingénieur officiel de l’armée brésilienne et professeur de calcul vectoriel et de mécanique rationnelle à l’École militaire. Il est le mentor spirituel du Cercle.