Livre : les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même
Dans son ouvrage « les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même », Lise Bourbeau pose les bases de ce qu’elle pense être au cœur de nos souffrances mentales et émotionnelles. Beaucoup de personnes se questionnent toute leur vie sur ce qui les empêchent d’avancer et d’être réellement heureux. C’est sans doute pour cela que l’ouvrage connaît un aussi grand succès : il apporte enfin des réponses concrètes à des interrogations universelles.
Découvrez ici : Pourquoi lire sur le développement personnel ?
Résumé
L’ouvrage « les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même » répertorie les « masques » que nous portons, souvent malgré nous et qui nous empêchent d’être épanoui :
Abonnez-vous à notre newsletter
Aimez-vous l'astrologie? Inscrivez-vous pour du contenu exclusif par email !
- Le rejet
- L’abandon
- L’humiliation
- La trahison
- L’injustice
La plupart d’entre eux remontent à l’enfance ou à l’adolescence. Et bien souvent, nous ne nous rendons même pas compte de ce « poids » sur nos épaules. Le livre est justement là pour nous aider à identifier et repérer clairement nos failles, nos fêlures, pour pouvoir travailler dessus par la suite.
Que faut-il retenir du livre « Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même » ?
« Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même » est plus qu’une simple œuvre qui traite de développement personnel. Il aborde des enjeux profonds, beaucoup plus majeurs.
Selon la blessure dont on souffre, nous allons développer un certain type de caractère avec ses défauts et ses qualités. L’auteur l’appelle « le masque ».
Pour le rejet, le masque le plus courant est la fuite. Avoir peur que la personne nous quitte ou nous rejette alors on préfère prendre les devants et s’auto-saboter.
Pour l’abandon, le masque le plus courant est la dépendance. La plus grande peur de la personne qui en souffre est la solitude : elle est alors en recherche d’attention et d’affection permanente.
Pour l’humiliation, le masque le plus courant est le masochisme. La personne est persuadée qu’elle ne vaut rien, qu’elle ne mérite pas d’amour, qu’elle n’a pas de qualité, qu’elle est laide. Son désir le plus profond serait d’être libre et de briser « ses chaines ».
Pour la trahison, le masque le plus courant est le contrôle. La personne n’a plus confiance en qui que ce soit et veut donc tout gérer, tout décider, tout contrôler afin ne plus jamais ressentir ce qu’elle a vécu auparavant.
Pour l’injustice, le masque le plus courant est la rigidité. La personne est comme « morte à l’intérieur », extrêmement froide et distante avec les autres, pour se protéger.
Dans la dernière partie de son livre, Lise Bourbeau explique quelles sont les clés pour guérir ses fêlures. La première étape est bien entendu d’identifier sa blessure, d’en comprendre l’origine puis de l’accepter. C’est un premier pas indispensable vers la rédemption.
Pour la suite, il faut engager un vrai travail de remise en question et de reconstruction, qui prendra du temps. Il s’agit de faire de ses faiblesses une force. De ses défauts des qualités. De puiser dans ses retranchements pour trouver les forces de votre type de caractère.
A lire aussi :