Comment ne pourrions-nous pas voir la grandeur sans le détachement aux mondes des illusions ?
La clarté de l’existence est conjuguée des aspirations profondes de l’âme. Sans un savant procédé de soins personnels et intimes, reliés profondément à l’alchimie naturelle, la connaissance du corps d’éternité ne pourrait être découvert. Mais pour cela, l’émancipation doit se faire dans une authentique démarche car sinon elle peut tordre la vision en admettant que seul autrui détient la clef de notre propre chaos. En vérité, les choix de vie doivent entrer en symbiose avec les éléments, les cycles ou lois de la vie. À défauts, celles ci viennent rappeler par le langage dans l’humanité les ordonnances qui fondent la possibilité même d’expérimenter la vie par l’humain. Nous nous devons en tant que potentiels de consciences de s’efforcer d’agir de toute notre volonté au service de ce qui nous intègre et englobe.
Que ce qui nourrit vraiment les forces latentes de l’être
De ce qui nourrit réellement les forces latentes dans l’être, pour s’éclore, se générer et se régénèrer, se déployer et s’ouvrir à la vraie destination qu’induit l’existence. Pour se laissé vivre au juste point qui nous garde équilibré, la connaissance du savoir intime doit faire prendre conscience de notre impact sur les illusions du monde. L’oeil authentique doit s’ouvrir pour exprimer la vraie bonté naturelle. En ne se laissant pas saisir par les fluides qui créent des miroirs dont nous ne voyons même plus le reflet que par une distorsion de notre intellectualisation. Perdue dans ses méandres, la pensée qui se déguise devant autrui frappe les contrecoups des négligences. En obstacles et en contrastes, le jeu de l’égoïsme épineux. Celui qui ne blesse que pour y laissé une empreinte, une démarcation, un piège pour les élans de l’âme renouvellée est dans l’erreur.
Nous en sortir comme rayonnant de conscience ne dépends que de la qualité de vivre, avec la passion du coeur juste qui sait déployer ce savoir naturel dont il n’en est qu’un dépositaire. Circulant, le savoir inné se laisse déshabiller avec la subtilité d’une langue franche, harmonieuse et pure. Et le souffle primordial est une clef de voûte dans laquelle l’assise de l’esprit conscient doit se faire sa juste place. Comme conduit par la volonté, n’avons-nous pas peiner pour juste s’affirmer comme séparé des autres ? Cherchant la reliance dans les bas instincts, se rassurer, ne peut qu’être ébranlé par des pensées plus sages reliées au courant supérieur. Car qui sait se relier au puissant corps divin sait par là-même que seule l’authenticité devant l’œil du cœur sacré, son intelligence, peut permettre d’en libérer tous les pleins potentiels d’harmonies.
Abonnez-vous à notre newsletter
Aimez-vous l'astrologie? Inscrivez-vous pour du contenu exclusif par email !
Briser les sceaux de la peur, lâche les brides qui retenaient esclave la vraie voie du rythme premier, celui de la création, palpitant encore sous les couches de nos corps sensibles. Lorsque l’on comprend que rien dans la nature n’a séparé la magie vivifiante de l’expérience alors peut-être que par un savant temps de purification, l’être se rendra encore mieux compte de ce qu’il lui est possible d’éveiller sans nécessairement croire que cela ne peut passer que par perfectionner une fausse emprise sur les mondes, ou que cela puisse dépendre d’un quelconque dogmes.
L’humilité de l’humanité doit ouvrir la vie qui veut que se place la conscience humaine, sacrée et divine.
A lire aussi :