7 plantes médicinales amérindiennes et leurs bienfaits
Les peuples amérindiens ont toujours vécu en harmonie avec la nature. Celle-ci leur procurait de quoi se nourrir, se loger mais aussi se soigner. Voici 7 plantes médicinales amérindiennes à connaître absolument.
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Les croyances liées aux plantes médicinales amérindiennes
Les techniques traditionnelles et les médecines naturelles des peuples amérindiens sont encore aujourd’hui utilisées par de nombreuses personnes à travers le monde. Dans une société où tout va toujours trop vite, la philosophie de vie des Amérindiens et leur approche de la spiritualité plait de plus en plus.
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Pour être en bonne santé, les Amérindiens considéraient qu’ils devaient mener une vie équilibrée, juste et harmonieuse. L’utilisation de plantes médicinales amérindiennes doit se faire en accord avec cette philosophie.
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Le gingembre sauvage
Lorsqu’il est consommé sous la forme de thé, le gingembre sauvage permet de stimuler le processus de digestion. Les Cherokees croyaient notamment que cette plante permettait de traiter les problèmes d’estomac, les crampes et les gaz intestinaux. Quant aux Meskwakis, ils utilisaient le gingembre sous la forme d’une poudre pour soigner les infections aux oreilles.
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La menthe sauvage
La menthe ne se contente pas d’être un délicieux aromate : c’est aussi l’une des plantes médicinales amérindiennes les plus populaires ! Nombreux sont ceux qui apprécient ses propriétés antioxydantes. En plus de faciliter la digestion, la menthe peut soulager les démangeaisons et accélérer le processus de cicatrisation lorsqu’elle est écrasée et appliquée comme une lotion.
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La fleur de colibri
De son vrai nom Ceanothus Cuneatus, cette plante était utilisée par les Amérindiens comme un diurétique visant à stimuler les fonctions rénales. Elle leur servait aussi à traiter les inflammations lymphatiques et certaines infections virales. Selon certains, la fleur de colibri permet en outre de réduire les crampes liées aux menstruations.
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La mûre
Ce fruit rouge ne se contente pas d’être délicieux, il est aussi riche en antioxydants et en nutriments qui permettent de booster la santé. On peut le consommer cru ou faire un thé à partir des racines de la plante pour profiter de ses bienfaits. Les Amérindiens y avaient recours pour soulager les douleurs musculaires et articulaires.
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La massette-quenouille
C’est l’une des plantes médicinales amérindiennes qui est recommandée pour le médecine préventive, car elle favoriserait le bon fonctionnement de l’organisme. Egalement, certaines tribus amérindiennes en faisaient une bouillie et l’étalait sur la peau afin de guérir les brûlures légères et pour apaiser les irritations chez les bébés.
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Le mille-feuille
Lorsqu’elles sont écrasées, les feuilles de cette plante médicinale permettraient de stimuler la coagulation sanguine. Généralement, les Amérindiens appliquaient directement cette pâte de mille-feuille sur la blessure afin de faire cesser les saignements. Consommée sous la forme d’un jus, cette plante permettrait en outre de faire cesser les saignements intestinaux. D’une manière générale, le mille-feuille serait un allié pour améliorer la digestion et soulager les douleurs liées à la vésicule biliaire.
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Le sumac
Le sumac était la plante médicinale la plus couramment utilisée pour soulager la diarrhée. Le thé effectué à partir de ces feuilles permettraient en outre de faire baisser la fièvre. Attention cependant à bien choisir les feuilles d’un sumac comestible, car certaines variétés sont toxiques.
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