Les premiers signes de la médiumnité pendant l’enfance
Le don de médium peut apparaître à divers stades de la vie. Cependant, il faut savoir que plus la personne est jeune, plus le don se manifeste de manière puissante et complexe. Voici les quelques signes à reconnaître qui trahissent la médiumnité pendant l’enfance.
Des présences
Il n’est pas rare que les enfants les plus créatifs s’inventent des copains qui n’existent que dans leur esprit, on parle alors d’amis imaginaires. Dans le cas de la médiumnité pendant l’enfance, c’est un phénomène qui va beaucoup plus loin et qui laisse peu de place au doute. L’enfant se met alors à parler de personnes qu’il a rencontrées mais dont vous n’avez jamais entendu parler, des adultes dont il n’a pas peur mais dont il ne comprend pas très bien qui ils sont. Cela peut être très inquiétant pour les parents, mais vous n’avez rien à craindre. Généralement, lorsqu’il y a médiumnité pendant l’enfance, des esprits positifs entourent le jeune médium et le protègent. On parle alors de fantômes du bien, qui guident l’enfant sur la voie de l’apprentissage de la médiumnité en douceur.
Des comportements incongrus
La médiumnité pendant l’enfance peut avoir des côtés perturbants pour les parents. Leur enfant peut se mettre à rire sans raison ou à écrire quelque chose qui n’a pas de sens pour eux. Le petit médium peut parfois sembler distrait, n’écoutant pas ce qui se passe en classe ou les choses que lui expliquent ses parents, comme si son esprit était connecté sur un autre réseau. Parfois, également, l’enfant peut tenir des discours très matures, parler de choses d’adultes sans être décontenancé le moins du monde, faire preuve d’une grande ouverture d’esprit et de beaucoup de compassion envers les autres.
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Quelques conseils pour les parents
Faire face à la médiumnité pendant l’enfance peut être un défi quotidien, surtout lorsque le don n’a pas été hérité et que personne, dans la famille, n’a vécu d’expériences similaires à celles que traverse l’enfant. En tant que parent, il y a pourtant plusieurs choses que vous pouvez faire. Tout d’abord, n’accusez jamais votre enfant de mentir, car il risquerait de ne plus vouloir se confier à vous. Ecoutez-le et essayez de comprendre ce qu’il vit. Encouragez-le à noter les choses qu’il voit et ressent ou, s’il ne sait pas écrire, à les dessiner. Si vous vous sentez impuissant, faites appel à un professionnel, comme un psychologue ouvert à ce genre d’hypothèses.
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