Quelle superstition est rattachée au fait de casser un miroir ?
Casser ou briser un miroir serait lié à une superstition. Selon plusieurs croyances, cela porterait malheur. Il existe plusieurs superstitions en rapport avec le miroir cassé. La superstition de casser un miroir ne date pas d’aujourd’hui, car selon les dires casser un miroir apporte sept ans de souffrance à la personne qui a eu la malchance de le faire.
Quelques idées liées à la superstition de casser un miroir
Il s’avère que briser un miroir attirerait sur vous sept longues années de malheur. Quelle malchance ! Ce serait vraiment pénible de supporter sept années de malheur. C’est vraiment flippant. Mais que faire. Nous sommes tous maladroit.
Chacun de nous a déjà cassé ou brisé quelque chose au moins une fois dans sa vie. Mais pourquoi jusqu’à sept ans de malheur ? Parce que selon les romains, la vie se renouvelle chaque sept ans. Alors si vous brisez un miroir, c’est seulement après sept ans que la chance vous sourira à nouveau. Mais vous pouvez y remédier, en enterrant les morceaux de ce miroir brisé pendant la pleine lune.
Abonnez-vous à notre newsletter
Aimez-vous l'astrologie? Inscrivez-vous pour du contenu exclusif par email !
Dans certains pays comme la Chine, la superstition de casser un miroir concerne un domaine spécifique, l’interprétation serait que vous aurez des problèmes dans votre couple, et cela pourrait même aboutir à une séparation. En Egypte, un miroir brisé signifierait la venue d’un grand malheur. Parce qu’autrefois les Egyptiens se servaient du miroir pour prédire l’avenir, alors un miroir brisé annoncerait un malheur.
Le miroir – prison des âmes perdues
Les miroirs hébergent souvent les âmes des défunts, et parfois ces âmes ne sont pas de bons augures. C’est pourquoi il est conseillé, de ne pas laisser un bébé devant un miroir, de peur que les mauvaises âmes emprisonnées dans le miroir n’aspirent l’âme innocente du bébé. Il est également conseiller de recouvrir votre miroir s’il y a un décès, pour ne pas qu’il emprisonne l’âme du défunt.
A lire aussi :