Les mythes fondateurs, se réapproprier la souveraineté de son histoire personnelle
Une des lois fondamentales dont nous venons acquérir la sagesse par l’apprentissage est celle de l’interdépendance. Nous baignons et émergeons d’un champ qui dentelle et fleurit son unité dans toutes les strates de la conscience de l’univers et du cosmos. En savoir plus sur les mythes fondateurs.
La démarche de se connaître pour prospérer, entrer en relations et être en harmonie avec la vie nous pousse à une étude approfondie de nos fondations, autant en tant que matérialité, de psychisme et de relations en accords avec les principes vivants naturels qui coordonnent les différentes gammes de la nature humaine.
Aussi, pour se hisser à une compréhension globale, il importe d’entrer en interactions avec les mystères de la Nature, de soi et des autres pour comprendre ce qui nous incombe par essence de mettre en actions en termes d’idées, de structures et d’élans créateurs.
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Les mythes fondateurs
Dans la nature humaine existe en substances des relations qui nous connectent au champ global d’éclosion de la vitalité, aux potentiels déposés dès notre naissance sous formes de germes et découvrir que nous sommes nous aussi un des éléments cosmiques d’éclosion nous appelle à nous réapproprier notre pleine souveraineté en tant qu’individu.
Naître, mourir et renaître constitue un cycle moteur de cette vitalité pour permettre à ce que nous puissions bénéficier des fruits d’apprentissages successifs en termes d’événements, d’expériences, de connaissances et de mises en éveils de ces germes déposés au centre de nous-même par le cosmos lui-même. Ce que nous avons nommés Dieu, conscience ou vie détermine à nos origines la singularité même de ce que nous sommes, en tant que tempéraments, de caractères, de singulières vitalités.
Bien que nous soyons contenus dans une vaste mer de conscience, un champ global, nous possédons aussi en nous la même unité qui se décide de se connaître, de connaître le monde qui nous entoure et ses multiples niveaux d’interactions, ou relations.
Ce qui nous conjugue par essence, c’est l’amour, c’est le ciment primordial qui transcende les voies intellectuelles, émotionnelles ou psychiques car par essence nous provenons de cette interaction naturelle définit comme le petit et le grand. Nous pourrions envisager cette notion de non-dualité sous de multiples aspects, comme par exemple le plus expérimenté ou le moins expérimenté, le plus âgé et le moins âgé, que cela ne dépend surtout que de notre mise en relations avec cette notion fondamentale du vivant.
Les œuvres connectées à l’expression naturelle de cette unité apportent une résonance individuelle et collective plus élevée, en termes de vibrations et de résonances, car elles touchent la conscience même qui se communique à chaque centres des univers.
Aussi, les relations fondamentales des contes, des Les mythes fondateurs et des légendes, sont garantes d’une transmission initiatique qui nous propulse à renouer avec un langage archétypal par lesquelles les forces instinctives et intuitives sont renouvellées, régénérées et mises en relations par leurs fondements universels.
Ce sont des dépôts de sagesse accumulés au fil du temps où les lueurs de la conscience font émerger des notions particulièrement utiles à toutes personnes qui désirent mieux comprendre les rouages de la Nature et de la nature humaine. Dans l’Esprit, les informations sont aptes à circuler naturellement dès lors qu’une âme décide à se placer en dépôts de ces différents niveaux de lectures et suggèrent aussi à ce que nous soyons attentifs à ce qui nous précède en tant que sagesse initiatique.
Après plusieurs années à pratiquer des séances individuelles et de groupes, dans l’alignement également à mieux connaître les forces qui entrent en interactions avec moi-même, je conseille vivement à ce que vous approfondissiez davantage l’assimilation et la mise en résonance avec ce que j’appelle les mythes fondateurs individuels. Se réapproprier son histoire personnelle, au-delà du simple fait de nos expériences de cette vie, c’est accepter aussi de mieux connaître les arcanes par lesquelles notre individualité choisit de se connaître en tant que fluides, forces et potentiels.
Autant l’astrologie nous ouvre à cette compréhension, autant les symboles, mythes qui s’y rattachent constituent les étapes qui viennent après l’éveil de notre conscience astrale. Il existe aussi, au niveau de la conscience, le monde phénomènal, archétypal, qui est soutenu par la conscience de cette pleine unité à l’œuvre partout dans tous les règnes de l’existence.
La sagesse des anciens constitue un apprentissage riche pour nous permettre de nous réapproprier ce qu’implique s’ouvrir à soi, aux autres et se connaître. » Rien de trop » est une des maximes du temple de Delphes en Lacédemonie, qui s’articule avec celle bien connue du public.
Cela implique qu’il n’existe pas de meilleure volonté que d’approfondir la connaissance de soi en exerçant une assise en ce que nous sommes et il suffit d’observer que toutes les civilisations durant les temps se sont concentrés à observer les singularités des individus par le biais d’une lecture phénoménale depuis cette conscience du grand tout.
Nous réapproprier notre ou nos mythes personnels, c’est écouter la sagesse collective, c’est prendre en considération l’importance d’écouter avec attention et c’est aussi se rapprocher, à un certain niveau, au seuil de la pensée infinie du cosmos qui tend à nous révéler la pleine beauté de l’unité en nous.
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