La rencontre avec soi – quand la pureté s’éveille en nous
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Nous ne naissons pas seul(e)s, Nous n’émergeons jamais non plus en solitude. Dès l’enfance, nous sommes déjà soumis à l’exigeante vitalité par laquelle jaillit l’éclosion de la vie. De l’apprentissage des formes-pensées, aux égrégores, tout concourt déjà quelque part, en l’union, à reconnaître la beauté inter-relationnelle. Sans ni jamais réellement nous y soustraire, nous conjuguons l’existence par la relation. D’ailleurs, si vous y êtes bien attentives & attentifs, de ces relations existe une consécration qui invite à la juste reconnaissance de ce que nous ne sommes pas afin d’y laissé s’élever dans les liens le ravissement de l’existence. Continuez à lire et apprenez-en davantage sur la rencontre avec soi.
94.1% (1782)La rencontre avec soi
Bien que nous contribuons à épanouir depuis le centre ce que l’on considère le moi, se rencontre un quelque chose de l’ordre de la Beauté, de la Justesse, de l’Équilibre, d’une joie et soif de vivre l’expérience de l’Humanité. Au-delà, en ce qui se considère seulement par le prisme d’une raison individuelle, prédomine la volonté existante au fond du Nous. L’embrasement véritable, le ravissement, est suggéré et garde l’individualité en tant que support, de socle, où s’éveille disons certaines fleurs. Un parfum où l’âme y est sensible, d’où les sens prennent réellement de teneur, d’absorption, une éclosion d’authenticité qui rappelle ses oisillons à une nourriture bien plus subtile. Celle de la Lumière. Tout concourt à se former, se dynamiser, s’optimiser, pour permettre, révéler, se recevoir.
Quand la pureté s’éveille en nous
De l’action naît en même temps une compréhension, il existe ainsi des degrés d’ouvertures, des seuils aussi, car la fleur de la Vérité ne se laisse pas malmener. Si nous étions plus avisés, plus réceptives ou réceptifs, que nous cultivons ainsi d’abord le sens réel de l’épanouissement, nous ne pourrions considérer comme acquis ce qui se dévoile sous formes d’expériences, de contemplations, sans pour autant nous croire s’approprier ce qui se déroule dans ces événements relatifs, puisque tout ne dépends, quelque part, de la capacité du regard, de la vision intérieure, du rayonnement où l’iris de l’Esprit tend à se faire connaître. Au terme de cette relativité, quand et dès lors qu’il est possible de saisir l’importance de se connaître, nous accédons nécessairement à ces portails, éclairés par une conscience qui y est illuminé. Qu’est-ce qui s’illumine et quelle est la nature de ces relations ? Ce sont des interrogations dont j’espère que vous soyez déjà effleurés, en ce qui voit et observe depuis ce Nous. C’est de cette Intelligence qu’un être humain, par exemple, doit se rapprocher. Il n’y a ni techniques, ni soumissions déraisonnables, mais seulement une capacité a laissé se rencontrer le soi, le moi, le prochain ou le passé.
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Qu’est-ce qui peut mieux éclairer l’espace mental autrement que ce qui l’en transcende ?
Nous évoluons, étapes par étapes, fruits après fruits, du légume à sa racine. Des espaces rencontrés, aux temporalités suggérées. Le sens du vivre ensemble, les enfants y sont sensibles. D’ailleurs, n’avez-vous pas remarqués que lorsque résonne en nous un appel interrelié à ce dont il est question, nous sommes comme dilatés, exaltés, on y discerne une affectuosité, un sens, un goût même de la rencontre, il y a un processus, un cheminement, où même parfois des lieux par et pour lesquels se joue le pourquoi nous naissons, existons et disparaissons de ce temps, confondus dans l’immensité de l’Harmonie. Aussi, je vous invite à ce banquet. Vous êtes invités, vous aussi, à vous laissé vous rencontrer, reconnus à votre juste mesure, de ce qui ne se voit ni par orgueils, ni par raisons, ni même par décisions objectives. Je vous parle d’un croisement en vous qui se joue de toutes vos formes d’expressions et de tout ce qui fait votre réelle capacité à laissé se jouer la comédie du ou des mondes en mis en ordres.
Qui veut se rencontre avec soi, comme le sucre dans le café, les mystères des relations. Aussi, appuyez-vous sur cela dans votre existence. Le numineux plus que du subliminal, car l’éphémère est ce sarment où l’impermanente vision profonde est transformée, rangée, ancrée à ce réel pouvoir de bénédictions. Vous vous devez aussi admettre qu’une existence limitée n’a pas plus d’expressions qu’un cristal et son prisme qui laisse passer ces quelques choses d’Éternité. C’est cela la réelle source de la vie spirituelle. Du pourquoi nous saisissons aussi le jeu d’ombres par attachements, en ce que l’on pourrait percevoir comme des aspérités. Il est utile d’y tendre l’arc, sans se préoccuper de ce que l’on touche. L’archer, est un emblème qui nous ramène à l’exactitude, la rectification, l’amélioration et aussi à l’abandon du sommeil qui nous répare. Car ce qui est réparé est une source d’afflictions, l’Harmonie est révélée sans que nous la contrôlions. Qui veut contrôler et depuis quoi ? Quelle est cette intrigante interrogation ? Je n’en demeure qu’un tout petit enfant qui apprend à aimer.
MDS
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